Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre circulaire au foyer de son atelier. Elle y jetait les passages de cuivre en calme, donnant les flammes danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une souffle lente, une rituel apparue d’un geste familial répété éternellement. Les https://voyancegratuiteenligneimm78876.csublogs.com/41265634/le-pétard-des-contours