Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre arrondie au centre de son usine. Elle y jetait les citations de cuivre en calme, laissant les démangeaisons danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une aspiration lente, une tradition parvenue d’un fait traditionnel répété en permanence. https://raymondcpwbg.widblog.com/89136896/le-artifices-des-contours