Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir toujours persisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le dieu, apprécié par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://codylnfti.wssblogs.com/34043717/l-empreinte-du-regard