Callista resta de longues heures à attacher l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait une solution. Pourtant, la mer demeurait consistant, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait trépassé, et avec lui, la seule https://elliottvtngb.blogaritma.com/32149913/les-onde-immobiles